Et tu seras libre Tristesse, amie fidèle, Je t’ai trop bien chérie ; Pourtant, tu es si laide… Et tu voudrais partir ? Mais je te sais captive : Enchaînée à nos vies, À nos joies brûlées vives. Embrase-moi plus vite ! Share this:TwitterFacebookWordPress:J’aime chargement… Articles similaires