Et tu seras libre

Tristesse, amie fidèle,
Je t’ai trop bien chérie ;
Pourtant, tu es si laide…
Et tu voudrais partir ?
Mais je te sais captive :
Enchaînée à nos vies,
À nos joies brûlées vives.
Embrase-moi plus vite !
%d blogueurs aiment cette page :